9 avril 2013
Arménie
Le papier est un océan de possibles. Ce labyrinthe colore chaque journée. Il faut sans doute beaucoup de mélancolie en soi pour préférer la vie de papier au réel. Quoi que cela ne soit pas tout à fait juste. De manière alternative, tels les cycles lunaires, je brûle tantôt sur le papier, tantôt dans la vraie vie. La vérité est que j'ai un besoin impérieux de brûler.
Publicité
Commentaires